Journée nature au programme. Avant de me lancer là dedans, je rassemble mes ondes rock'n roll chez Johnny et Jennifer. Puis on embarque avec un groupe de frenchy et un groupe de japonais et pleins de gilets de sauvetage orange. Notre petit bateau passe d'abord devant le chandelier (lignes comme Nasca de 1km sur 400mts, visible uniquement depuis la mer) origine inconnue bien sûr. Puis arrivée aux ìles Ballestas, les galapagos du pauvre. Une ìle peuplée de centaines de milliers d'oiseaux et de tonnes de guano. C'est d'ailleurs une des richesses du coin. On passe une heure à admirer aussi les lobos de mer, nos potes du début du voyage argentin. Ca semble si loin ces souvenirs. On apprend que les femelles vivent jusqu'à 30 ans, qu'elles ont un bébé par an pendant la période de reproduction de 4 à 25 ans, sachant que la gestation dure 11 mois. Je vous laisse calculer le pourcentage de vie non enceinte que ca fait. Pas bezef! PS: elles allaitent en continu bien sûr! Retour sur la terre ferme, le temps de constater que le vendeur de billets de bus n'est tjs pas prêt à nous vendre des billets, mais que la vendeuse de mangue est tjs au taquet. On repart ensuite dans la réserve naturelle de Paracas. On y retrouve une fidèle du mono blanco d'Aréquipa. C'est elle d'ailleurs qui nous apprend que des vautours d'une espèce rare (ceux à têtes rouges) décrivent des cercles autour de nous pendant qu'on observe les falaises abruptes (zone de séisme) et les plages de sable rouge. Mouettes et pélicans se baignent ensuite avec nous sur notre petite plage du Pacifique. Resto quasi pieds dans l'eau, serveurs lentissimes qui méritent ce que l'on appelle désormais un lynchage à la française: la brune et la blonde qui ne passent plus rien. On nous traite comme des gringas? No soucy, on peut vous moisir l'existence. Suffit de demander. Au retour à l'hotel, on continue notre numéro et on leur fait réparer tour à tour les ampoules de la sdb, la chasse d'eau, l'arrivée d'eau, le robinet d'eau chaude, la fenêtre. On passe sous silence le sable dans les draps, le sol en terre, et l'odeur des couvertures semblable en moins pire que celle des baños. Parce qu'ils sont gentils quand même nos hôtes. 3ème puis 4`me tentative pour les billets de bus. Le dueño, on ne peut plus présent et éveillé (ça ne durera pas) nous offre les places 1 et 2 du bus 2 étages panoramique, nos préférées où la blonde peut tendre ses jambes pour dormir et la brune admirer la vue en écrivant son diary. D'ailleurs c'est l'heure de mettre un peu le blog à jour. Ouf on trouve un dernier resto abierto avant de rentrer chez Fiorella.
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